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« Ami de la science et de la volupté » selon Baudelaire, « idéal du calme » pour Jules Renard, « idole de l’appartement » selon Mallarmé, le chat a fasciné poètes et romanciers. « Le chat n’a vraiment pas à se plaindre des écrivains », reconnaît Paul Morand. Il leur doit en effet quelques-unes des plus belles pages de la littérature française.
Les chats d’écrivains se promènent parmi les livres. Voici un livre qui se promène parmi les chats. Tour à tour tendres ou cocasses, élogieux ou jaloux, lyriques ou fantastiques, les textes rassemblés ici – du Roman de Renart à Léautaud, de Montaigne à Nucéra – couvrent sept siècles de compagnonnage entre felis catus et hommes de plumes.
Les auteurs de référence (Buffon, Balzac, Dumas, Maupassant, Colette…) y côtoient des écrivains méconnus, et les classiques y répondent aux contemporains : Julien Green, Marcel Béalu, Frédéric Vitoux, notamment. Le dessus du panier !
Car, et le mot de la fin lui revient, comme l’écrit Leonor Fini : « Le chat est à nos côtés le souvenir chaud, poilu, moustachu et ronronnant d’un paradis perdu. »
Auteur(s): Frain, Irène
Editeur: Archipoche
Année de Publication: 2016
Nombre de pages: 277
Langue: lang_fr
ISBN: 978-2-35287-853-7
eISBN: 978-2-35287-867-4
« Ami de la science et de la volupté » selon Baudelaire, « idéal du calme » pour Jules Renard, « idole de l’appartement » selon Mallarmé, le chat a fasciné poètes et romanciers. « Le chat n’a vraiment pas à se plaindre des écrivains », reconnaît Paul Morand. Il leur doit en effet quelques-unes des plus belles pages de la littérature française.
Les chats d’écrivains se promènent parmi les livres. Voici un livre qui se promène parmi les chats. Tour à tour tendres ou cocasses, élogieux ou jaloux, lyriques ou fantastiques, les textes rassemblés ici – du Roman de Renart à Léautaud, de Montaigne à Nucéra – couvrent sept siècles de compagnonnage entre felis catus et hommes de plumes.
Les auteurs de référence (Buffon, Balzac, Dumas, Maupassant, Colette…) y côtoient des écrivains méconnus, et les classiques y répondent aux contemporains : Julien Green, Marcel Béalu, Frédéric Vitoux, notamment. Le dessus du panier !
Car, et le mot de la fin lui revient, comme l’écrit Leonor Fini : « Le chat est à nos côtés le souvenir chaud, poilu, moustachu et ronronnant d’un paradis perdu. »